jeudi 19 mars 2015

LA RELÂCHE? C'est fini. Dernière mise-à-jour de la relâche.

VENDREDI 13 MARS

On part pour Nassau aujourd'hui. Les vents de l'est sont a leur maximum (pour la plaisance) 25 noeuds avec rafales à 30. On y va, après avoir fait les préparations d'usage. Par contre, ce matin, j'ai "joggé" avec Mireille. Peu importe le temps et/ou la distance, pour moi c'est un petit exploit car je ne cours pas depuis des années et lorsque je le fais, je me blesse souvent... aujourd'hui, pas de problème!

Dès sortis de la marina, nous hissons les voiles et Falco décolle à 7 noeuds avec grand-voile seule. On finit par hisser le génois et on fait déjà des pointes de 8,5 noeuds. Notre traversée s'avère la plus excitante de toute la vacance. Des vagues de 2 mètres nous font "surfer" et l'action du roulis sur la coque fait en sorte qu'il faut barrer à deux mains avec de grands coups de barre pour maîtriser le cap, sans quoi c'est l'auloffée automatique. En fait, on porte un peu trop de voilure pour les conditions, mais l'équipage a de l'expérience.

Juste une petite erreur de ma part: J'ai omis de remonter le dinghy sur le pont, et nous le traînons derrière nous. Il se comporte quand même assez bien, mais je le vois presque chavirer à quelques reprises, puis une déferlante nous le propulse en collision sur le pont arrière... pas de dommage, mais vraiment "limite"! Ça aurait pu être un petit désastre...

Nous rentrons sur Nassau en début d'après-midi et on se rend au Nassau Yacht Heaven où nous rencontrerons le prochain équipage.

SAMEDI LE 14 MARS

Journée de ménage et de rangement. La visite arrive vers 15h00. Mon associé André avec sa famille, avec Chris Winlo et sa famille également prendront Falco pour 2 semaines pour, eux aussi, découvrir les Exumas. Un seul hic, un panne d'électricité à Nassau durera presque 2 jours pour nous empêcher d'utiliser le pouvoir au quai, ainsi que les laveuses/sécheuses pour la lessive. Au moins l'eau est illimitée et ne coute que 6$/jour. On utilisera la génératrice pour nos besoin en pouvoir (eau chaude, etc...) et on pourra prendre de longues douches chaudes à bord.

Tout se passe bine et je rencontre André et Chris pour leur montrer les détails de fonctionnement du bateau. Ils arrivent avec une montagne de denrées pour leur voyage. Nous les aidons à organiser les rangements.

En les mettant en garde sur un détail concernant le moteur, je constate qu'il y une accumulation d'eau dans le compartiment moteur. Je capote! j'avais vérifié la veille, et rien... au moins, je connais la source du problème et sa solution, mais il est 18h00 et on a une réservation au resto pour 12 personnes à 18h30!

Je reste à bord jusqu'à 19h30 et termine la réparation. J'arrive à table quand même à temps pour le plat principal et la soirée de groupe se termine agréablement.

DIMANCHE LE 15 MARS

Ça y est, c'est vrai, le voyage est fini. On part du bateau vers 10h00 pour nous rendre à l'aéroport. Nous avons tout de même eu le temps de terminer tous nos préparatifs pour présenter un bateau propre et fonctionnel à nos invités.

Voyage sans embûches, transfert à Toronto, et je me suis fait confisquer la bouteille de rhum souvenir que j'avais achetée à l'aéroport de Nassau. Les lois Bahamiennes sont bien différentes que celles du Canada. Taxi de Dorval jusqu'à la voiture entreposée chez Pierrette. Puis transit vers Tremblant. Dodo, épuisés, vers 23h00.

Demain matin l'école.

Il est tombé 30 cm de neige hier... mon retour au Québec est à la pelle! Drôle de pays! "Au moins, y fait pu frette"



















jeudi 12 mars 2015

JEUDI LE 12 MARS 2015

Aujourd'hui, déplacement vers le nord. Nous partons de Warderick Wells vers 10h00 avec comme destination Highbourne Cay. Sylvie veut que nous allions à la marina, ce n'est pas une mauvais idée puisque nous devons faire quelques travaux, un peu de nettoyage et les enfants doivent continuer les devoirs et leçons.

Le vent souffle sans cesse du secteur est de 15 à 20 noeuds. Un passage de 30 milles devait nous prendre environ 4 heures. L'allure est très stable et très rapide avec des pointes au dessus de 8,5 noeuds. Une autre journée mémorable de voile dans les Bahamas.




Rendus à destination je fais un service complet des deux moteurs pendant que les autres font leurs besognes diverses. Nous terminons l'après-midi avec une petite baignade et une ballade à vélo.

Demain, passage sur Nassau.

mercredi 11 mars 2015

LUNDI LE 10 MARS

Journée de repos à Staniel Cay. Nous sommes ancrés dans la grande et populaire baie de Big Major Spot. Les enfants vont étudier ce matin pendant que Sylvie et moi partirons en dinghy pour aller faire l’épicerie et chercher un peu d’eau. Le moteur de l’annexe, un Yamaha deux temps de 15 HP commençait déjà à mal fonctionner la semaine dernière. Pendant le passage vers le village de Staniel, le moteur a calé au moins un dizaine de fois. Je suis inquiet de la situation et décide d’entreprendre une reparation qui impliquera le nettoyage du filtre d’essence, démontage et nettoyage du carburateur et installer de nouvelles bougies. Ces travaux semblent avoir corrigé la situation.



L’après-midi se termine avec une rencontre baignade à une plage populaire à l’extrémité nord de la baie. Nous rencontrons encore l’équipage du bateau “Le Second”.  Mireille et Laurent divertissent les petits avec un concours de châteaux de sable. Nous visitons leur bateau, un Hunter 37 avant de retourner souper sur le Falco.

MARDI LE 11 MARS

Nous continuons notre route vers Nassau en faisant escale à un nouvel endroit, soit O’Briens Cay, une île dans le sud du parc des Exumas. Pour s’y rendre nous avons le vent au grand largue avec des rafales à 25 noeuds. Le bateau fait quelques pointes à 8 noeuds. Les conditions sont belles sur le “bank”, avec des vagues de moins d’un mètre. Pour accéder aux îles que nous désirons visiter, nous devons affaler les voiles et procéder à moteur dans des passages très étroits entre plusieurs îles et îlots. Nous passons tout près de la résidence exubérante de Johnny Depp sur Bell Island, une île privée qui lui appartient.




L’endroit est très peu fréquenté par les plaisanciers. On y a trouvé un seul mouillage exploité par le parc, mais il y a amplement d’options pour jeter l’ancre. Non loin de là, on trouve un magnifique site pour faire de l’apnée, le “Sea Aquarium Coral Garden”, qui vaut définitivement le detour. C’est assurément un des plus beaux sites des Exumas. Nous explorons ensuite des lagunes et plages sur l’île voisine.

MERCREDI LE 12 MARS

Nous quittons notre beau mouillage pour nous diriger vers Warderick Wells, quartier général du Parc des Exumas. Mireille, l'artiste de la famille, a entamé un projet il y a quelques jours. Sur une vieille planche de bois elle a sculpté le nom de notre bateau et nous laisserons cette oeuvre d'art sur un tas de reliques semblables. En effet, à Warderick, sur la plus haute colline qui domine l'atlantique, les équipages de passage qui le veulent, laissent le nom de leur bateau inscrit sur un morceau de bois de dérive. Nous l'avions fait en 2010, mais plus de trace de notre bout de bois... cette fois-ci,. la planche est sculptée, ce qui fait que l'écriture ne devrait pas s'effacer!





Le passage fût mémorable, vent encore au portant, mais l'angle était un peu plus aigu, vitesse avec des pointes au dessus de 8 noeuds. Très excitant.

lundi 9 mars 2015

MISE-À-JOUR, 9 MARS 2015

JEUDI LE 5 MARS

Journée de repos à Black Point. Une petite plongée dans les coraux sur la pointe nord-ouest de la sortie vers l’océan en compagnie de Patrick du bateau « Le Second ». C’est un amateur de pêche sous-marine avec harpon. Il recherche n’importe quelle grosseur de poisson comestible et je suis surpris de la taille de ses prises. Il se contente parfois de poissons aussi petits que 20 cm, du moment qu’ils sont comestibles. Je l’aide à garnir son lot en lui donnant ma petite capture.

Le reste de la journée est passée à faire la lessive et les enfants font des études. J’en profite pour nettoyer le BBQ et en changer le régulateur à gaz. Je le remets à neuf.


VENDREDI LE 6 MARS

Nous faisons le plein d’eau et partons vers le sud. Les vents du secteur est soufflent à 15 nœuds et la mer est calme du côté du « bank ». Notre destination, un ancrage à proximité de Little Farmer’s Cay situé à une quinzaine de milles d’ici. L’intérêt de cet endroit réside dans le fait qu’il y a une grosse caverne reconnue par les plongeurs spéléologues car des tunnels souterrains s’étendent supposément sur plus de 250 mètres.



Après un beau passage au près, sans vagues, à 7 nœuds, nous trouvons Oven Rock, un ilôt rocheux qui nous guide vers notre ancrage. Au cours de l’après-midi d’autres bateaux se joignent à nous, mais l’endroit est très tranquille. Nous allons à terre et trouvons le sentier qui mène vers la caverne. Cette dernière est facile à trouver. Très spacieuse, elle est garnie de stalactites et stalagmites. Dans fond de la grotte, un grand bassin d’eau salée nous apparaît et notre exploration décèle les fameux tunnels qui disparaissent vers les profondeurs. J’imagine que les amateurs de ce genre de plongée ont un sang-froid que je ne possède pas.



Nous continuons l’exploration de l’ile et trouvons une lagune sur la côte est. L’endroit est idyllique. Une plage immaculée borde la lagune qui est ronde, d’un kilomètre de diamètre, avec un petite brèche vers l’atlantique. Nous nous y baignons et profitons de cet endroit genre « carte postale ».

Au retour, nous reconnaissons « San Flo » un bateau avec un équipage que j’ai rencontré à Norfolk durant le convoyage vers le sud. Nous les avons croisés encore une fois durant notre voyage de Noël et Serge, le propriétaire, se manifeste quotidiennement sur le « Réseau du capitaine ». Ils nous invitent à bord pour l’apéro et nous rencontrons aussi un autre équipage, Sylvain et Carmen, qui sont à bord du bateau « Sweet Sin ». La fin de journée en leur compagnie fut très agréable et surtout, très drôle.


SAMEDI LE 7 MARS

Nous nous dirigeons aujourd’hui vers Rudder Cut Cay en passant par l’océan. Les mêmes vents qu’hier nous y mènent paisiblement. Un peu de pêche, à peine une heure, puisque l’entrée se situe à seulement 5 milles vers le sud. L’endroit et très joli, mais au bord d’une île privée où il nous est interdit de débarquer. On doit prendre le dinghy pour se rendre vers des îlots situés non loin de là. La curiosité de l’endroit est de trouver une sculpture sous-marine. Dans une petite baie, dans 10 pieds d’eau, on trouve un piano à queue avec une sirène en contemplation. On plonge dessus et nous prenons quelques photos cocasses.



L’ancrage est très beau, situé en face d’une grosse caverne sculptée dans une falaise rocheuse, mais le fait que l’île est privée limite l’exploration que l’on peut en faire.


DIMANCHE LE 8 MARS

Nos réserves d’eau baissent et il est encore temps de retourner vers Staniel Cay pour un peu de carburant, d’eau, d’essence et de provisions fraiches. Nous avons un vent de 15 nœuds de l’est qui nous poussera vers le nord-ouest au grand largue, en mer sur une distance d’environ 22 milles, un passage de 3 ou 4 heures. Les lignes sont encore à l’eau.

Finalement, ça mord vers 12h30. La ligne se déroule abondamment et cette capture promet ! Après nos manœuvres pour ralentir le bateau et le placer à la cape (presqu’arrêté), une bataille de 20 minutes nous permet finalement d’apercevoir une dorade d’une taille impressionnante. Nous réussissons à fatiguer le poisson et à le ramener à bord sans problème cette fois. Sylvie lui administre son coup de grâce avec le reste d’une bouteille de whisky. Le poisson mesure 46 pouces et pèse surement autour de 20 livres. Après s’être remis de nos émotions et mangé une bouchée, je filète le poisson dans le cockpit.



Nous arrivons à Staniel Cay vers 15h30 et faisons les provisions anticipées, à part l’épicerie, puisque fermées le dimanche. Nous retrouvons l’équipage du bateau « Le Second » et étant donné notre abondante réserve de poisson frais, nous les invitons à souper à bord. Ils sont à « Big Major Spot » et nous nous y rendons pour notre ancrage et le souper. Une autre soirée mémorable passée en bonne compagnie. Ce sont des gens charmants et leurs trois enfants, plus jeunes que les nôtres,  adorent Mireille et Laurent qui s’occupent bien d’eux.



jeudi 5 mars 2015

LES ALIZÉS PERSISTENT

PHOTOS À SUIVRE QUAND LA CONNEXION INTERNET SERA MEILLEURE...


LUNDI LE 2 MARS

Les vents du secteur est persistent toujours. Chris Parker, météorologue, explique que la présence de ces vents d’alizée par une compression des vents autour de fronts froids situés au sud des USA, ce qui bloque les vents à composante nord de se rendre dans les Bahamas. Pour nous, ce n’est pas un grand problème, sauf que nous ne nous dirigeons pas vers le sud-est pour le moment.

Nous avons décidé de quitter Georgetown et de voguer vers Lee Stocking Island, qui possède un bel ancrage près d’une station de recherche océanographique abandonnée. Avant de partir nous avons déplacé le bateau près de la ville pour faire le plein d’essence pour le dinghy, refaire le plein d’eau et enfin une petite épicerie.

Sortir de Georgetown et de la baie Elizabeth fut chose facile avec le vent au grand largue, toutes voiles sorties filant à 7 à 8 nœuds. On fait route nord-ouest vers Lee Stocking située à une vingtaine de milles de nous. On a mis deux linges à la traîne.

Finalement, de l’action à la pêche. Première capture, une dorade d’environ 5 livres. Malheureusement, elle s’est détachée au dernier moment, tout juste avant de l’embarquer. Puis, nous avons capturé un espadon. Ce genre de poisson se débat frénétiquement par moment en faisant des bonds prodigieux et des courses effrénées. Aussi, le poisson se braque de côté à la ligne et bloque littéralement la progression que l’on tente de faire en le ramenant vers le bateau. La bataille a duré plus de 30 minutes et lorsqu’on a finalement approché l’espadon du bateau, il a plongé sous le bateau pour ressortir de l’autre côté, le fil aboutit entre le safran et l’hélice. Quel malheur, cette impasse m’oblige à couper le fil et à relâcher le poisson. On ne mangera pas de poison ce soir, mais nous avons eu le plus beau spectacle de pêche de toutes nos aventures dans le sud.

MARDI LE 3 MARS

Journée de repos à Lee Stocking Island. Matinée relax avec des travaux à bord. Les étudiants font ce qu’ils doivent faire, la madame fait un super ménage d’une section de garde manger. On a trouvé une boîte de céréales contaminée par des petits insectes, ce qui nous rappela à l’ordre… toujours inspecter les achats dans les pays chauds. Au point de déballer les items le plus possible pour éviter d’embarquer ces bestioles nuisibles. De mon côté, j’ai du démonter la pompe de la toilette avant car elle était bloquée. Mon inspection révéla une accumulation de dépôts calcaires généralisés, obstruant ainsi les orifices et soupapes. Nettoyage complet et rebâtir l’intérieur… heureusement j’avais toutes les pièces de rechange.

Durant l’après-midi nous nous sommes baignés à une petite plage déserte et exploré l’extrémité nord-ouest de l’ile. Plus tard, après le retour au bateau, Mireille et moi sommes retournés à terre pour explorer le centre de recherche abandonné. Les bâtiments sont déjà en décrépitude avancée (station fermée en 2012) mais nous pouvons imaginer un centre très bien équipé. Nous voyons des vestiges d’ateliers, laboratoires, plusieurs résevoirs, une station de désalination de l’eau et une grosse génératrice.

Un chemin traverse l’île et même à une très belle plage très spacieuse. Difficile à croire qu’un tel emplacement ait été abandonné.

MERCREDI LE 4 MARS

Toujours le même portrait météo. Les vents du sud-est très présents soufflent à 20 nœuds avec rafales à 23. On prédit une très faible diminution et une reprise en force pour la fin de semaine. L’équipage me fait encore pression pour aller plus au sud. Je leur accorde que j’ai aussi le goût d’y aller qu’eux, mais les conditions ne s’y prêtent guère. Nous décidons de faire une tentative et on part.

Dans la passe qui mène à l’océan, courant de marée et vents opposés créent un clapot très impressionnant. Des vagues de 2 à 3 mètres sont nombreuses et se succèdent et nous les franchissons tandis que le bateau fait des sauts vertigineux. Il faut fermer toutes les écoutilles pour garder l’intérieur au sec et nous recevons plusieurs embruns dans le cockpit.

Une fois cet obstacle passé, nous sortons une seule voile, soit le génois (voile avant) et prenons un cap au près pour progresser vers le sud-est. La vague est encore assez grosse et le vent souffle. Le bateau est très gité et plutôt inconfortable dans ces conditions. Le plan change d’un commun accord et nous virons vers le nord-ouest, vent arrière pour une nouvelle destination : Black Point. L’ancrage y est très protégé des vents du secteur est, l’eau y est gratuite, on peut la puiser dans nos grosses chaudières à même des points sur la rue principale.

Coïncidence incroyable : nous retrouvons dans l’ancrage, une famille que nous avons rencontrés en 2010 à bord du bateau « Le Second ». Une couple d’enseignants de Mascouche avec leurs trois enfants. Ils n’ont pas trop changé, mais les enfants eux, ont bien entendu pas mal grandi. Ils passent la même remarque au sujet des nôtres… La journée se termine par un petit apéro de groupe sur le « Falco » en regardant le soleil se coucher et en échangeant nos histoires.



dimanche 1 mars 2015

ESCALE PROLONGÉE

DIMANCHE 1ER MARS

Ce matin les vents de l’est sont plus intenses qu’hier et soufflent déjà à près de 25 nœuds. Il semble que notre route vers Long Island et Conception, deux de nos destinations de prédilection, connaîtra une halte temporaire. Les vents sont modérés et viennent exactement de face à notre destination... La route vers le sud-est, dans ces conditions, est très inconfortable. On fait face à une houle de 3 à 4 mètres dans l’océan, et si on connaît la voile au près dans ces conditions, la route en ligne droite de 40 milles devient un zig-zag de 80 milles avec une gite excessive. Le moteur ne serait pas une option adéquate, puisque le progrès serait considérablement ralenti.

Tout cela pour dire que l’on patiente à Georgetown depuis hier et cela continuera aujourd’hui. Nous faisons des ballades sur la plage, emplettes au village (on ramène toujours 10 gallons d’eau potable avec nous), un peu d’apnée et on joue au ballon volant.

Encore une fois « y a pire que ça dans la vie ! »

Voici quelques photos du coin :